Nadia Tereszkiewicz Crédit Marta Bevacqua

Nadia Tereszkiewicz

Après avoir suivi un programme danse-études à l’école Rosella Hightower à Cannes, et un cursus préparatoire aux Grandes Écoles, la comédienne franco-finlandaise Nadia Tereszkiewicz se tourne vers le théâtre en intégrant le Conservatoire du 8ème arrondissement de Paris, et la Classe Libre des Cours Florent.
Après quelques expériences devant la caméra, elle incarne en 2017 Nora, le personnage principal passionné de Sauvages, de Denny Berry.
Entre 2018 et 2019, nous la retrouvons dans deux films : Persona non grata, de Roschdy Zem, et le thriller de Dominik Moll, Seules les bêtes. Ce dernier lui vaudra une nomination aux Révélations des César 2020, et le prix de la Meilleure Actrice au Festival International du Film de Tokyo 2019.
En 2020, Nadia s’illustre à la télévision avec la diffusion sur Canal + et HBO Max de la série Possessions, thriller de Thomas Vincent avec Reda Kateb, et fait un passage dans la quatrième et dernière saison de Dix pour cent.
En 2022, on l’a vue dans la comédie de Monia Chokri, Baby-sitter (sélectionné à Sundance), dans Tom, drame de Fabienne Berthaud, et dans le cinquième film de Valeria Bruni-Tedeschi, Les Amandiers, notamment sélectionné en Compétition Officielle au Festival de Cannes et pour lequel Nadia a remporté le César du meilleur espoir féminin 2023.
En 2023, nous avons retrouvé Nadia à l’affiche de Mon Crime de François Ozon, dans le film d’aventures historique La dernière reine, de Damien Ounouri présenté à la Mostra de Venise (2022), et dans L’Ile rouge de Robin Campillo. Elle vient de terminer de tourner sous la direction d’Alanté Kavaïté.
En 2024, elle fait ses premiers pas en tant que comédienne de doublage et prête sa voix à Jagna, personnage principal du film en peinture animée La Jeune Fille et les Paysans, signé par les réalisateurs de La Passion Van Gogh. La même année, on retrouvera Nadia à l’affiche de Rosalie, de Stéphanie Di Giusto, une libre adaptation de la vie de Clémentine Delait, la célèbre femme à barbe du XIXème siècle.

©Marta Bevacqua