visuel-2024

Décarbonner la culture

« Décarbonons la culture ! » : le rapport du Shift Project

Les pratiques culturelles occupent près de trois heures de notre emploi du temps quotidien, et les ménages français y consacrent environ 4 % de leur budget. Avec plus de 700 000 personnes travaillant dans le secteur, la culture emploie 2,6 % de la population active et génère 2,3 % du PIB français.

Voici ce que nous mettons en place et/ou développons, chaque année, pour réduire notre empreinte carbone au sein de notre structure et de notre manifestation.

Au sein de la structure :

Le Plan de mobilité employeur accessible à toute l’équipe – une incitation à utiliser les transports en commun ;
Une journée de télétravail par semaine en moyenne par salarié ;
La réduction de nos archives numériques et la limitation des données mises en ligne pour la communication – en favorisant, notamment, les formats vidéos ;
La relocalisation des achats et la limitation des livraisons.

Au sein de la manifestation

Une attention particulière portée au bilan carbone de nos invité·e·s au moment de la construction de la programmation ;
Des jauges à taille humaine ;
L’organisation de séjours plus longs pour les artistes sur le territoire (masterclass, collaborations avec des artistes locaux, interventions dans des écoles, etc.) ;
La mise à disposition de fontaines à eau ;
La mise à disposition de gourdes, sur demande. Chaque invité·e étant convié·e à prendre ses dispositions ;
La proposition d’une alimentation locale et végétarienne et d’un service de boissons locales (pour les artistes et le public) ;
Le recyclage des déchets ;
Le choix de fournisseurs locaux et la limitation des emballages plastiques pour le catering (privilégier le « zéro déchet ») ;
L’augmentation de la part des déplacements en transports en commun pour les artistes ;
L’encouragement du covoiturage via des plateformes dédiées et information du public sur les transports collectifs permettant d’accéder aux lieux des événements ;
La mutualisation des éléments indispensables à la logistique à l’échelle locale avec d’autres acteurs du territoire ;
La limitation des matériels énergivores et l’exclusion des matériaux les plus polluants ;
La réduction de la consommation de matière – notamment dans la communication (À l'étude) ;
Le développement des filières de mutualisation des livres (occasion, location, emprunt, don, etc.).